Désirée, c'est d'abord l'envie de comprendre la filière horticole française, et de rapprocher les producteurs des fleuristes.
Aujourd'hui, ce sont seulement 15% des fleurs vendues en France qui viennent de nos régions. Pour la grande majorité, elles proviennent des Pays-Bas mais aussi d'Ethiopie, du Kenya, d'Equateur ou de Colombie. Chez Désirée, nous avons décidé de travailler à 100% avec des producteurs tracés et visités, en France ou à proximité immédiate, en contrôlant le respect de normes environnementales et sociales recensées dans notre cahier des charges.
Les producteurs horticoles français sont en danger : nous en avions 4000 dans les années 80, il en reste 350 aujourd'hui. Pour préserver ces savoir-faire, il est urgent de s'engager dans le soutien des producteurs et le respect de la saisonnalité des fleurs.

Visite du producteur Mathieu Abeille dans le Var - Photo Virginie Garnier
Désirée, c'est aussi un projet engagé pour des relations plus justes et plus transparentes avec les producteurs, pour une logistique plus logique, pour le bien-être de ses salariés et pour une consommation plus douce et raisonnable.
Désirée a reçu en décembre 2019 l’agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale » (ESUS), et s'engage à partager ses bonnes pratiques et listes de partenaires pour redynamiser ensemble la filière horticole française.